Le deuxième sujet de l’épreuve de philosophie série S était « La sensibilité aux oeuvres d’art demande-t-elle à être éduquée ».
Je visitais le Vatican avec un ami américain, en sortant de la visite je lui demandais ce qu’il pensait de la chapelle « Sixtine », il m’a répondu qu’il n’avait pas prêté une attention particulière à le seizième (sixteenth) mais que toutes étaient très belles.
Thomas en classe de 5ème « étudie » en histoire la famille Médicis qu’il écrit Medhi VI, sûrement en hommage à son copain Medhi qui habite dans l’immeuble en face. pour lui Michel-Ange a du finir sa vie pas loin de la Loire, la leçon précédente parlait de Léonard de Vinci dont il ne savait rien de la ville où il était né.
Je ne sais pas si l’on doit éduquer la sensibilité, mais lire le supplément au Monde « Michel-Ange » ne semble pas superflu. Ceux, qui comme moi, galèrent à sculpter un visage trouveront dans ce détail de la Piéta une mine d’enseignements.
Une réponse sur “Mickey l’Ange”
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C’est vrai que le premier ouvrage, sur Matisse, était trop scolaire, mais j’ai trouvé les trois suivants passionnants!