A SYLVIA WILDENSTEIN

Madame,

C’est par « voix de presse » que j’ai été informé de vos malheurs (tout relatifs bien sûr, car quand vous commencez à compter, pour vous l’unité est déjà le million de dollars).
Guy et Alex vos de deux beau-fils, ont tenté de vous déposséder de la fortune de feu votre mari en vous faisant signer une renonciation que vous avez eu la naïveté de signer. Sachez que vous avez le devoir impérieux de faire en sorte que la collection de Daniel Wildenstein ne tombe pas entre leurs doigts crochus. Je pense que le mieux serait de contacter au plus tôt le maire de Boulogne, qui déprime un peu depuis que François Pinault lui a posé un lapin, pour lui proposer d’installer sur l’île Seguin une annexe de la Fondation Wildenstein.
Espérant que vous aurez à cœur de donner à des musées, une grande partie des œuvres d’art que possédait votre mari, Veuillez croire Madame en la grande rapacité de vos deux Beau-fils.
Pêle-Mail

3 réponses sur “A SYLVIA WILDENSTEIN”

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  2. Hopper? pas Hopper?,

    Décembre 1999 dans un depot-vente de ma région, j’achete une peinture anonyme non signé.A l’arriére de cette toile un carton etait enchasser entre la toile et le chassis avec les inscriptions suivante » colonial road + un numéro peut-etre inventaire ».En enlevant le carton sur la toile 1931, sur le chassi trous de fixation (couvercle) je pense.Je confit les investigations a un expert agrée a la cnes il pense que l’oeuvre serai bien de Hopper plusieurs mois passe il me contact par télephonne et me dit avoir trouver le tableau dans les archives de spoliation, se tableau aurait fait parti de la trés celebre collections Thyssen.IL vient récuperer le tableau et le confie a une svv de Paris.Aprés quelques mois il l’envoi a New-York et présente le tableau a l’expert de Hopper, aprés environs deux mois elle dit que l’oeuvre n’est pas de Hopper.A se jour je ne suis toujours pas convaincu de cette décision verbal, pas recu de certificat en retour confirmant ces dires, mon expert a toujours cru a se tableau et encore a se jour.A s’avoir que en nettoyant se tableau sur un morceaux du carton ( arracher) et retrouver entre le chassi et la toile la signature manuscrite E.Hopper.Voila mon histoire si elle vous intéresse contacter moi ,merci et a bientot j’espere.
    Mr Gasull

  3. Je me permets de vous signaler cet article qui vient d’être publié par l’afp et qui je l’espère sera publié par la presse française notamment la presse du monde de l’art.

    Manet ou pas Manet ? La difficile recherche en paternité d’un antiquaire

    GENEVE (AFP) – Un antiquaire suisse pense avoir découvert un Manet sur un marché aux puces à Genève, mais sa recherche en paternité se heurte depuis huit ans aux arcanes du monde de l’art, incapable d’authentifier cette oeuvre non signée.

    La découverte de Jules Pétroz remonte à une promenade au marché aux puces de Plainpalais en 1997. « Cela faisait un bout de temps que j’avais repéré ce pastel ordinaire dont personne ne voulait. Mais j’ai soudain repéré une petite entaille dans un coin et aperçu une peinture à l’huile sous le papier », raconte-t-il.

    Cachant son émotion, Jules Pétroz repart avec sa trouvaille qu’il paie 15 francs suisses (10 euros). Otant le pastel, il découvre émerveillé le portrait d’une belle rouquine à la poitrine dénudée.

    Le chineur apporte alors son petit tableau (55 cm sur 46) chez Christie’s et Sotheby’s. Les deux maisons de vente, qui ont une succursale à Genève, pressentent un chef d’oeuvre et suggèrent qu’il a pu être peint par Edouard Manet (1832-1883). Mais elle ajoutent que seul l’Institut Wildenstein à Paris est habilité à certifier l’authenticité d’une oeuvre du maître impressionniste, sans quoi toute vente aux enchères est impossible.

    Jules Pétroz envoie aussitôt des photos de sa découverte à l’institut dirigé par le collectionneur Daniel Wildenstein. Celui-ci reconnaît dans un courrier les qualités de l’oeuvre mais assure qu’elle n’a pas été peinte par l’auteur du « Déjeuner sur l’herbe » et qu’elle daterait plutôt des environs de 1900.

    Déçu, Jules Pétroz voit la fortune s’envoler et se résigne à ranger l’oeuvre au coffre-fort.

    Il entame cependant des recherches et établit que la dame du portrait est Méry Laurent, une demi-mondaine qui a posé pour des impressionnistes et aurait pu être la maîtresse de Manet. Elle vivait près de son studio, selon M. Pétroz.

    C’est pour que leurs amours ne soient pas découvertes que Manet n’aurait pas signé l’oeuvre et l’aurait recouverte du pastel, suppose-t-il.

    Quatre ans après sa découverte, et peu après la mort de Daniel Wildenstein, l’antiquaire genevois reçoit la visite du galeriste parisien Charles Bailly, qui examine le tableau.

    Quelques mois plus tard, Bailly rappelle. « Il m’a dit qu’il serait à l’aéroport de Genève dans l’après-midi et m’a demandé d’apporter le tableau », raconte le Suisse. « Mais il était trop tard pour le sortir de la banque. Je suis quand même allé le voir et il m’a dit: ‘je sais qui l’a peint. Laissez-le moi six semaines. Cela doit valoir 3 millions de francs français (450.000 euros). Je vous en donne la moitié; c’est à prendre ou à laisser' ».

    Comme le marchand d’art refuse de révéler le nom du peintre, Jules Pétroz préfère garder son tableau.

    Interrogé, Charles Bailly, considéré comme un proche de Daniel Wildenstein dont il a refusé de prendre la succession, fait répondre qu’il n’a jamais proposé d’acheter la peinture.

    Depuis la mort de Daniel Wildenstein, personne n’a vraiment l’air de savoir qui est habilité à certifier l’origine d’un Manet. Sophie Pietri, une des responsables de l’institut Wildenstein, évoque l’existence d’un vague comité d’experts.

    « M. Pétroz peut toujours nous donner la possibilité d’examiner son tableau de plus près », suggère-t-elle.

    Mais Jules Pétroz se méfie des plaintes en cours contre la famille Wildenstein, accusée d’avoir vendu des oeuvres d’art à des collaborateurs durant l’occupation allemande.

    Les Wildenstein affirment être victimes d’un malentendu mais ils ont perdu récemment un procès contre l’américain Hector Feliciano, à l’origine de ces accusations dans son livre « Le musée disparu ».

    Jules Pétroz pourrait vendre son tableau pour quelques milliers d’euros ou l’accrocher dans son salon, mais il préfère le montrer aux amateurs. Il l’exposera ainsi à la foire aux antiquités de Genève en octobre prochain, sur la plaine de Plainpalais.

    l’article est plus pertinent en anglais

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