Suite à la parution du précédent article j’ai reçu un mail de Félix[Dufrance] qu’il m’a demandé de reproduire non pas dans un commentaire mais dans une chronique spéciale, voici donc dans son intégralité le texte qu’il m’a fait parvenir :
Merci à toi (note de la rédaction : on se tutoie) d’insérer ce texte en tant que chronique et non comme un commentaire (note de la rédaction : même pour un commentaire c’est moi qui les reporte dans le Blog, car Félix n’a jamais touché à un ordinateur), comme image associée, tu peux mettre un de mes tableaux si tu y tiens.
A vous lecteurs de ce Blog (note de la rédaction :Félix suppose que vous serez au moins deux à lire ce Blog, sinon il aurait continué sur le mode du tutoiement) qui êtes en train de me lire (note de la rédaction : je voudrai pas fâcher Félix, mais vous êtes forcément en train de le lire, au moins jusqu’ici, car rien ne dit que vous allez encore longtemps supporter la lecture de cette rubrique) j’espère que Pêle-mail l’auteur de ce Blog ne va pas continuellement m’interrompre avec sa fâcheuse habitude de donner son avis en ajoutant des parenthèses à tout bout de champ (note de la rédaction : sur ce point il a raison, ça m’arrive assez souvent). Je voudrais apporter un commentaire à la précédente rubrique. (note de la rédaction : mais pas sous forme de commentaire mais de chronique spécifique comme il me l’a lui-même demandé, j’avoue qu’à ce point je me suis demandé si un commentaire n’était pas plus approprié). Ce qui m’a importé (note de la rédaction : au sens de ce qui était important pour lui, et non pas au sens importation) c’est le tableau.(note de la rédaction : c’et sur ces mots que se termine le commentaire de Félix un homme qui ne parle pas pour ne rien dire).