«Je me refuse à admettre la fin de l’Europe».

Contrecoup_verret
Je suis allé voir « Contrecoup » (j’ai bien aimé) une création de François Verret au théatre de la ville à partir de la lecture d’Absalon, Absalon de William Faulkner (1897-1962) qui, issu du Mississippi situe ses récits dans le Sud des Etats-Unis, dénonçant la décadence de ce terroir depuis la fin de la Guerre de Sécession et les violences raciales qui y sont commises..« On dirait que l’homme peut tout supporter. Même ce qu’il n’a pas fait. Même l’idée qu’il n’en peut supporter davantage ».W Falkner a reçu le prix Nobel en 1952 et déclarait dans son discours «Je me refuse à admettre la fin de l’homme».

Et moi «Je me refuse à admettre la fin de l’Europe».