Ce matin dans le métro en lisant le quotidien gratuit « MatinPlus » je suis tombé sur cet article, je ne connais pas du tout Jean Feldman pas plus d’ailleurs que la Galerie où il expose, mais je vais aller y faire un tour car j’aime bien ses cartons.
« De la publicité à la peinture, il n’y a qu’un pas. Jean Feldman, créatif et affichiste de renom à qui l’on doit, entre autres, la petite fleur de Yoplait et les campagnes publicitaires d’Obao, revient à ses premières amours. La peinture et les Cartons, comme il nomme avec affection les oeuvres qu’il réalise dans ce matériau.
Il expose à la galerie Anne et Just Jaeckin, où dix-sept toiles et plusieurs vitrines de Cartons éclairent leurs formes à la façon de Botero.
L’originalité est de mise avec ces personnages cartonnés. Cette matière «sensuelle aux coloris infinis» est une source de réminiscences de son enfance. Avec celui qu’il appelle «son vieux copain», le plasticien revisite les canons de l’art inca. Ailleurs, «prisonnier de la beauté des femmes», Jean Feldman leur rend hommage.
Au final, on découvre un univers plein d’humour et de dérision, à la fois enfantin, par les procédés de découpage et de collage, et artistique par l’audace qui a fait son succès.
«Art is vanity», dit l’un de ses personnages… _
Jean Feldman, jusqu’au 15 juin,
Galerie Anne et Just Jaeckin, 19, rue
Guénégaud, Paris 6e (0143267365). »
« De la publicité à la peinture, il n’y a qu’un pas. Jean Feldman, créatif et affichiste de renom à qui l’on doit, entre autres, la petite fleur de Yoplait et les campagnes publicitaires d’Obao, revient à ses premières amours. La peinture et les Cartons, comme il nomme avec affection les oeuvres qu’il réalise dans ce matériau.
Il expose à la galerie Anne et Just Jaeckin, où dix-sept toiles et plusieurs vitrines de Cartons éclairent leurs formes à la façon de Botero.
L’originalité est de mise avec ces personnages cartonnés. Cette matière «sensuelle aux coloris infinis» est une source de réminiscences de son enfance. Avec celui qu’il appelle «son vieux copain», le plasticien revisite les canons de l’art inca. Ailleurs, «prisonnier de la beauté des femmes», Jean Feldman leur rend hommage.
Au final, on découvre un univers plein d’humour et de dérision, à la fois enfantin, par les procédés de découpage et de collage, et artistique par l’audace qui a fait son succès.
«Art is vanity», dit l’un de ses personnages… _
Jean Feldman, jusqu’au 15 juin,
Galerie Anne et Just Jaeckin, 19, rue
Guénégaud, Paris 6e (0143267365). »
This morning in the subway reading the free daily « MatinPlus » I came across this article, I do not know Jean Feldman any more than the gallery where he exhibits, but I’ll go for a ride because I I like his boxes.
« From advertising to painting, there’s only one step, Jean Feldman, a renowned designer and poster designer who, among other things, owes the small flower of Yoplait and Obao’s advertising campaigns, returns to his first love, Painting and Cartons, as he affectionately names his works in this material.
He exhibited at the gallery Anne and Just Jaeckin, where seventeen canvases and several showcases of Cartons illuminate their forms in the manner of Botero.
Originality is in order with these cardboard characters. This « sensual material with infinite colors » is a source of reminiscences of his childhood. With the one he calls « his old friend », the artist revisits the canons of Inca art. Elsewhere, « prisoner of the beauty of women », Jean Feldman pays tribute to them.
In the end, we discover a world full of humor and derision, at once childish, by the processes of cutting and collage, and artistic by the daring that made its success.
« Art is vanity, » says one of his characters … _
Jean Feldman, until June 15,
Anne and Just Jaeckin Gallery, 19, rue
Guenegaud, Paris 6th (0143267365). I>
« From advertising to painting, there’s only one step, Jean Feldman, a renowned designer and poster designer who, among other things, owes the small flower of Yoplait and Obao’s advertising campaigns, returns to his first love, Painting and Cartons, as he affectionately names his works in this material.
He exhibited at the gallery Anne and Just Jaeckin, where seventeen canvases and several showcases of Cartons illuminate their forms in the manner of Botero.
Originality is in order with these cardboard characters. This « sensual material with infinite colors » is a source of reminiscences of his childhood. With the one he calls « his old friend », the artist revisits the canons of Inca art. Elsewhere, « prisoner of the beauty of women », Jean Feldman pays tribute to them.
In the end, we discover a world full of humor and derision, at once childish, by the processes of cutting and collage, and artistic by the daring that made its success.
« Art is vanity, » says one of his characters … _
Jean Feldman, until June 15,
Anne and Just Jaeckin Gallery, 19, rue
Guenegaud, Paris 6th (0143267365). I>