Miro disait à propos de ce tableau: le carnaval d’arlequin« J’ai essayé de traduire les hallucinations que la faim produisait. Je ne peignais pas ce que je voyais en rêve, comme diraient aujourd’hui Breton et les siens, mais ce que la faim produisait : une forme de transe ressemblant à ce que ressentent les orientaux ». Une fois assez riche pour manger à sa faim, il disait qu’il évitait de manger avant de peindre, peut-être pour retrouver un peu cet état que l’on n’ose pas nommer un état de grâce
Miro said about this painting: Le Carnaval d’Arlequin« I tried to translate the hallucinations that hunger produced. I did not paint what I saw in a dream, as Breton and his contemporaries would say today, but what hunger produced: a form of trance resembling what the Orientals feel. « . Once rich enough to eat at his hunger, he said he avoided eating before painting, perhaps to find a little this state that we dare not name a state of grace