– Anne-Louis Girodet de Roussy-Trioson (1767-1824) tu connais ?
– Non pourquoi ?
– Parce qu’en ce moment tout le monde en parle
– Et ceux qui en parlent, ils en disent quoi ?
– Qu’ils ne savent rien de lui.
– Et ils en parlent quand même ?
– Oui les journaux ont presque tous consacré des pages entières pour dire qu’ils ne savent pas grand chose à son sujet
– C’est toujours mieux que de faire comme Mgr Gaillot qui a consacré un sacré con venu du Canada.
– En fait tout ça parce qu’il y a une exposition au Louvre consacrée à Girodet.
– Et tu l’as vu cette exposition ?
– Non pourquoi ?
– Oh je demandais juste….
Il y a manière et manière (et réciproquement)
Lorsque je visite une exposition dédiée à Monet, je reconnais sans peine les toiles de Monet, car toutes sont de lui. Et c’est pareil quand je visite une exposition de Renoir. Par contre quand je vois une toile que je ne connais pas ou que je connais mal, impossible de décider si elle est de Monet ou de Renoir. Et puis en lisant le « Livre d’Art » sur Monet, je tombe sur une véritable aubaine. En 1869 Monet et Renoir sont assis côte à côte, pinceaux en main et peignent AU MEME MOMENT, LE MEME SUJET pratiquement sous le même angle. Génial non. Le bouquin commente fort bien les différences.
est donc la manière dont chacun appréhende le sujet,
et la manière dont chacun peint.
J’ai eu le sentiment (peut-être à tort) en regardant les deux tableaux côte à côte que je pourrai maintenant mieux discerner de Monet ou de Renoir qui a peint le tableau que je suis en train de contempler.
Un seul regret actuellement celui de Monet se trouve au Metropolitan Museum of Art, à New-York et celui de Renoir au Musée National de Stockholm. Donc difficile de voir à nouveau les deux tableaux côte à côte comme ils auraient du rester. Possible qu’un jour qui sait ?
Les Nymphéas de Monet : sa dernière idée fixe
Claude Monet (1840- 1926) a réalisé pas loin de 250 toiles ayant comme sujet les Nymphéas (je mets une majuscule à Nymphéas, on ne sait jamais) sur une durée de 25 ans. « …Sachez que je suis absorbé par le travail. Ces paysages d’eau et de reflets sont devenus une obsession. C’est au-delà de mes forces de vieillard, et je veux cependant arriver à rendre ce que je ressens… » (Lettre de Monet à Geoffroy, 11 août 1908).
C’était un homme de séries, Quand il tenait un sujet il l’exploitait à fond: il aussi peint des séries sur la gare saint Lazare, des meules de foin, la cathédrale de Rouen, des Peupliers.
Comment se fait-il que Monet ai passé autant de temps à peindre les nymphéas, qu’est qui l’attirait dans ce bassin ? Je n’en sais fichtre rien et peu importe.
Je ne suis pas un inconditionnel des Nymphéas mais j’ai visité l’exposition qui leurs était consacrée à L’Orangerie en 1999 (comme le temps passe) et certaines toiles étaient inachevées (pour de vrai, je dis ça car les critiques de l’époque trouvait le travail inachevé). Cela permettait de mieux comprendre comment Monet travaillait. Je ne vais pas vous l’expliquer, car je ne suis pas un « explicatif » (je suis plutôt un « ressentatif ») et que de plus j’en serai parfaitement incapable. Mais j’ai été frappé par le fait qu’il ne s’occupait absolument pas du fond, il commençait par peindre des cercles verts (la feuille du nénuphar , pour ceux qui ne suivent pas) avec un trait très large, puis les détaillait au niveau des couleurs. Je n’ai pas retrouvé de reproduction de ces toiles inachevées et si jamais vous savez où les trouver merci de me faire cygne (comme disait le vilain petit canard).
Memory par auteurs
Qui a peur du Grand méchant loup
Prom’nons-nous dans les bois pendant que le loup n’y est pas Si le loup y ‘était il nous mangerait Mais comm’ il n’y est pas, il nous mang’ra pas. Loup y es-tu ? Que fais-tu ? Entends-tu ?
Je mets ma culotte
Prom’nons-nous ……..Loup y es-tu ? Que fais-tu ? Entends-tu ?
Je mets mon pantalon
Prom’nons-nous ……..Loup y es-tu ? Que fais-tu ? Entends-tu ?
Je mets ma chemise
Prom’nons-nous ……..Loup y es-tu ? Que fais-tu ? Entends-tu ?
Je mets mes chaussures
Prom’nons-nous ……..Loup y es-tu ? Que fais-tu ? Entends-tu ?
Je vais te manger
Oedipe et la psychanalyse
Jean-Auguste-Dominique INGRES (Montauban, 1780 – Paris, 1867)
Oedipe explique l’énigme du sphinx 1808-1827
© Musée du Louvre/A. Dequier – M. Bard
Que le monde est reposant quand il ne parle pas de psychanalyse
the world is lying when he does not speak of Psychoanalysis i> p>
Le Mythe de Narcisse [dyna] mité
Acte 1 |
Prima fide uocisque ratae temptamina sumpsit Caerula Liriope, quam quondam flumine curuo Inplicuit clausaeque suis Cephisos in undis Vim tulit. Enixa est utero pulcherrima pleno Infantem nymphe, iam tunc qui posset amari, Narcissumque uocat. (…) |
La première qui fit l’épreuve de la vérité de ses oracles fut Liriope aux cheveux d’azur (rivière de Béotie) ; jadis le Céphise (Cours d’eau) l’enlaça dans son cours sinueux et, la tenant enfermée au milieu de ses ondes, il lui fit violence. Dotée d’une rare beauté, elle conçut et mit au monde un enfant qui dès lors était digne d’être aimé des Nymphes ; elle l’appela Narcisse. |
C’est la mère (la belle-mère de Blanche-neige) qui se regarde alors dans le miroir et se voit peu à peu vieillir……..
Acte 2
Fons erat inlimis, nitidis argenteus undis, quem neque pastores neque pastae monte capellae contigerant aliudve pecus, quem nulla volucris. nec fera turbarat nec lapsus ab arbore ramus; gramen erat circa, quod proximus umor alebat, silvaque sole locum passura tepescere nullo. hic puer et studio venandi lassus et aestu procubuit faciemque loci fontemque secutus, dumque sitim sedare cupit, sitis altera crevit, dumque bibit, visae correptus imagine formae spem sine corpore amat, corpus putat esse, quod umbra est. Adstupet ipse sibi vultuque inmotus eodem haeret, ut e Pario formatum marmore signum. spectat humi positus geminum, sua lumina, sidus et dignos Baccho, dignos et Apolline crines inpubesque genas et eburnea colla decusque oris et in niveo mixtum candore ruborem, cunctaque miratur, quibus est mirabilis ipse: se cupit inprudens et, qui probat, ipse probatur, dumque petit, petitur, pariterque accendit et ardet. inrita fallaci quotiens dedit oscula fonti, in mediis quotiens visum captantia collum bracchia mersit aquis nec se deprendit in illis! quid videat, nescit; sed quod videt, uritur illo, atque oculos idem, qui decipit, incitat error. credule, quid frustra simulacra fugacia captas? quod petis, est nusquam; quod amas, avertere, perdes! |
Il y avait une source limpide d’eaux brillantes et argentées, que n’avaient touché ni les bergers, ni les chèvres qui passent sur la montagne ni aucun autre troupeaux ; aucun oiseau ni une bête sauvage ne l’avaient troublée, ni un rameau tombé de l’arbre. Elle était entourée de gazon, que l’humidité très proche entretenait, et l’ombre de la forêt ne permettait pas au lieu d’être réchauffé par quelque rayon de soleil. Ici, l’enfant fatigué après une chasse intense et par la chaleur de l’été, s’étendit à terre séduit par l’aspect de ce lieu et par la source. Et pendant qu’il cherche à apaiser sa soif, une autre soif monte en lui. Et pendant qu’il se désaltère attiré par le charme du lieu, il aime une illusion sans corps et est saisit par la représentation d’une beauté qu’il avait vu, il pense que ce qui est une ombre est un corps ; il tombe en admiration devant lui-même et il reste fixé, son visage immobile comme une statue de marbre de Paros. Etendu sur le sol, il regarde deux astres -ses yeux– et des cheveux dignes de Bacchus et dignes d’Apollon, des joues qui n’ont pas atteint la puberté, un cou d’ivoire et le charme de sa bouche, blancheur de neige mêlée d’une couleur rouge. Et il admire tout ce qui le rend admirable. Crédule, pourquoi cherches-tu à obtenir en vain des apparences fuyantes ? Ce que tu cherches est nulle part, ce que tu aimes, détournes-toi, tu le perdras ! |
C’est cette étape que Freud (Sigmund) nomme Le narcissisme primaire :le bébé est pour lui-même le centre du monde. L’extérieur n’existe pas pour lui. Il ressent sa mère comme une partie de son propre corps. La voyant accourir sans délai au moindre de ses appels, il est en effet persuadé qu’il a autant de pouvoir sur elle que sur sa main ou sur son pied.
Acte 3
Ille caput viridi fessum submisit in herba; Lumina mors clausit domini mirantia formam. Tum quoque se, postquam est inferna sede receptus, In Stygia spectabat aqua. Planxere sorores Naides et sectos fratri posuere capillos; Planxerunt dryades ; plangentibus adsonat Echo. Jamque rogum quassasque faces feretrumque parabant ; Nusquam corpus erat ; croceum pro corpore florem Inueniunt foliis medium cingentibus albis. |
Puis il posa sa tête fatiguée sur l’herbe verte, et la nuit ferma ses yeux emplis d’admiration pour la beauté de leur mâitre. Et, même quand il eût été reçu dans l’infernal séjour, il se contemplait encore dans l’eau du Styx. Ses soeurs, les Naïades, firent retentir leurs pleurs et déposèrent sur la tombe de leur frère leurs cheveux coupés. Les Dryades le pleurèrent aussi. Le son de ces pleurs est redoublé par Echo. Et déjà elles préparaient le bûcher, les torches que l’on secoue, la civière ; mais le corps avait disparu. à sa place, elles trouvent une fleur jaune safran dont le cœur est entouré de feuille blanches. |
Freud (toujours Sigmund) nomme « narcissisme secondaire » cet amour de soi qui succède à la découverte de la réalité extérieure. C’est à ce narcissisme que l’on fait référence lorsque l’on parle des problèmes ou des failles « narcissiques » d’une personne.
Acte 4Freud (non pas Sigmud mais Lucian son petit-fils le Peintre) en 1993 alors agé de soixante-dix ans, scrute sans complaisance son corps nu et vieillissant. en 2002 il déclare « I intend to paint myself to death (J’ai l’intention de me peindre jusqu’à ma mort). Bravo pour son courage et tant pis pour ceux qui sont choqués par ses tableaux.
Acte 5Nous tous qui revenons de vacance bronzé(e)s et réconcilié(e) avec notre corps, nous pouvons sans crainte nous regarder dans le miroir. Elle et Lui
Le texte en Latin est d’Ovide
Chef d’oeuvre
Un chef-d’œuvre est une œuvre capitale et difficile qu’un artisan devait faire pour recevoir la maîtrise dans sa corporation, il s’agissait de SON chef-d’œuvre qui n’était que rarement considéré comme UN chef-d’œuvre. Toute la nuance tenant dans l’article !
L’auteur Gilles Lambert du ‘livre des Arts’ sur Caravage définit une toile de Caravage comme UN chef d’œuvre ( et non pas comme SON chef d’œuvre). Je ne sais pas comment il a fait pour la reconnaître. Moi je suis absolument incapable de savoir si c’est « La Mort de la Vierge» ou « L’extase de St François»
Les anciens avaient un catalogue sur les sept merveilles du monde, mais nous ne possédons plus de catalogue recensant les sept chef-d’oeuvres du Monde. Je sais que l’UNESCO a créé en 1998 une distinction internationale intitulée «
"Proclamation des chefs-d’œuvre du patrimoine oral et immatériel de l’humanité" » en fait c’est surtout pour protéger les « chefs d’œuvre en péril ».
Victor Hugo disait « le relatif est dans la science, le définitif est dans l’art, le chef d’œuvre d’aujourd’hui sera le chef d’œuvre de demain. On se succède, on ne se remplace pas. Le beau ne chasse pas le beau. Ni les loups ni les chef d’œuvres ne se mangent entre eux ».
Il devait avoir raison car rien ne pourra remplacer les vers d’Aragon ventant « Les yeux d’Elsa » (un pur chef d’œuvre):
J’ai vu tous les soleils y venir se mirer
S’y jeter à mourir tous les désespérés
Tes yeux sont si profonds que j’y perds la mémoire
Le Marché de l’Art est au Marché
Je reviens du bord de mer (atlantique) où j’ai passé deux semaines (merci oui j’ai passé de bonnes vacances). En allant au marché, j’ai découvert des stands vendant des tableaux : soit des aquarelles soit des peintures à l’huile, les prix variant de 10 € à 400 € cadre compris et parfois même le chevalet est offert, intrigué par le prix de certains tableaux j’ai regardé sur l’envers pour vérifier si toutefois ils n’étaient pas peints en Chine, eh bien non, il s’agit de produits faits en France que l’on peut donc acheter sans mettre en péril l’équilibre des échanges commerciaux internationaux. A ce propos sur le parvis de Beaubourg les portraitistes parlent de moins en moins bien le Français, que sont nos étudiants des Beaux Arts devenus…….
– Des réalisateurs de videos répondit l’écho à ma question.
Une oeuvre d’Art Soldée !
Possédant depuis un long moment des oeuvres d’une grande valeur, je me suis décidé à les vendre, vous pouvez acheter l’oeuvre présentée pour cent mile Euros (100 000 €) [Gouache sur papier]. C’est une occasion unique à saisir, j’estime sa valeur à au moins cinq cent mille euros (500 000 €). Si je la compare avec les oeuvres de Jean-michel Basquiat
(1960-19988) qui travaille dans ce style et dont les oeuvres peuvent depasser les deux millions de dollards.Il est vrai que les prix ont chuté ainsi «Bird as Buddha» une acrylic a été vendue cette année 311 712 €.
La canicule
Jusqu’à maintenant c’était un sujet de salon: Les pingouins ont chaud, la banquise fond, un atoll dans le pacifique est devenu inhabitable, tout le monde s’en fichait. Mais maintenant fini de rire, la canicule est revenue CHEZ NOUS. Alors ça devient grave, et on prend conscience que nous avons vraiment mis le merdier sur la planète. Du temps de Van Gogh la météo n’était pas encore folle, le soleil brillait normalement, les orages n’avaient rien de terrifiant, et le vent soufflait pour gonfler les voiles des moulins à vent ; on disait que c’était Van Gogh qui était fou et tout était en ordre.
Quand je regarde cette toile je me dis que Van Gogh annonçait juste que c’étaient les nuages le vent la pluie et le soleil qui allaient devenir fous.
Si jamais vous y pensez évitez de laisser échapper :
• le gaz carbonique ou dioxyde de carbone ( CO2)provenant essentiellement de la combustion des énergies fossiles et de la déforestation,
• le méthane (CH4) qui a pour origine principale l’élevage des ruminants, la culture du riz, les décharges d’ordures ménagères, les exploitations pétrolières et gazières,
• les halocarbures (HFC et PFC) sont les gaz réfrigérants utilisés dans les systèmes de climatisation et la production de froid, les gaz propulseurs des aérosols,
• le protoxyde d’azote ou oxyde nitreux ( N2O) provient de l’utilisation des engrais azotés et de certains procédés chimiques,
• l’hexafluorure de soufre (SF6) utilisé par exemple dans les transformateurs électriques
Ein Traum (On en a tous rêvé)
Je lisais tranquillement le « livre d’Art » supplément habituel maintenant du Vendredi, je ne connaissais absolument pas Schiele mais pourtant ses dessins m’étaient familiers, intrigué je suis allé chercher dans les archives que mon arrière grand-père avait légué à son fils, jusqu’à ce qu’elles arrivent jusqu’à moi. La ressemblance du dessin que j’avais entre les mains avec les dessins que je regardais me frappait encore plus. Je sais que mon ancêtre a vécu un grand moment en Allemagne, mais je n’ai gardé aucun autre document de cette période. Etrange non ?
Father’s Day
Robert De Niro souhaite une fête des pères à son père Robert De Niro Sr. (1922-1993) en faisant exposer ses tableaux au musée La Piscine à Roubaix. Tout le monde est venu pour l’événement. Non pas voir les tableaux du père mais juste pour apercevoir le fils. Le père est mort sans avoir jamais été exposé de son vivant.
Que tous les barbouilleurs du dimanche se rassurent, s’ils ont un enfant célèbre (ou qui le deviendra) ils ont une bonne chance de finir dans un musée.
Klimt is good
Tout à fait d’accord avec Lunettes Rouges sur son texte au sujet des dessins érotiques de Klimt et indiquant qu’il a été déçu.
J’ai acheté vendredi dernier, le « livre d’art » supplément du Monde sur Gustave Klimt (1862-1918). et j’ai bien aimé. Si l’on fait une analyse (je m’en garderai bien) de l’environnement dans lequel vivait le peintre: Une Vienne Bourgeoise et conservatrice déja perturbée par Sigmund Freud qui ecrivait « l’Interprétation des rêves » en 1900 et Trois essais sur la théorie de la sexualité en 1905. Klimt était un peu plus jeune que Freud (8 ans à peine). L’un abordait la sexualité de manière savante et réfléchie. L’autre la vivait la dessinait et la peignait (du verbe peindre, c’est vrai que comme il ne peignait que des femmes souvent nues elles devaient ensuite se peigner elles-même).Mais Klimt de retour de sa visite à Paris a rapporté l’impressionnisme dans ses valises.
Ps: En ce qui concerne l’image jointe, peut-être que Manara appréciait Klimt.
tu as voulu voir Vermeer, et on a vu Vermeer, comme toujours…..
J’ai acheté vendredi dernier le nouveau bouquin vendu avec le Monde sur Jan VERMEER (VERMEER DE DELFT- peintre hollandais (1632-1675). J’ai découvert avec stupéfaction qu’il utilisait une « camera obscura » l’ancêtre du projecteur d’image. Je pensais que cette approche de la peinture datait de l’apparition de la photo. Comme on ne connait pas grand chose de la vie de Vermeer l’auteur Norbert Schneider se lance dans quelques suppositions parfois un peu hasardeuses du genre « Il est donc clair que la perle du tableau de Vermeer est un symbole de chasteté ». Moi je veux bien mais j’ai bien regardé autour de moi en marchant dans Paris, pas une seule vierge à l’horizon à part une dame super bien habillée et qui devait bien avoir dans les soixante-dix ans !
J’ai choisi le tableau de la laitière. Visiblement c’est plûtot sa fille qui s’est lancée dans la publicité.